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Rhee Somi
Rhee Somi
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Jeu 5 Aoû - 21:01
Rhee Somi
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ô crachant destin ne voulant plus d’elle. demoiselle, n’étant plus que morceau, se sourit aux autres. puisqu’il s’agit de son nouveau masque, transperçant bonheur que pouvait rayonner dans le myocarde chantant. voleuse du néant, tentant les phalanges vers l’infini défi chutant. et le corps, ô qu’elle aurait pu l’abandonner dans les couloirs se musant de commentaires. ils s’en deviennent définition d’elle même ((sans lui laisser ce divin choix qui est sien)). et pourtant, demoiselle est devenue lointain de ce souvenir. parure d’antan, précieuse n’a que danser dans un autre parallèle.

oeuvre du désordre, à la demande des artistes déluges.

et, plateaux s’envolent.
et, écritures se mémorent.

quand la nuitée se rejoint les pétales célestes, le service de la déchue se trace à sa dernière page. et qu’elle ne le veut, déesse habitée de cette envie de continuer sans délimité. l’heure tourne, et les secondes se semblent de plus en plus rapides sur la photographie. qu’ils capturent cet instant, ô douleur n’a de profond reflet quand les lippes des deux serveuses se sourissent en côté. de cette troublante douceur, la balafre n’a que caresse à l’horizon comète. sua, ô qu’elle ne s’attendait à cette euphorie des florales, venant de la poésie de la beauté cendrée travaillant à ses contrées. que l’océan n’a égaré l’adresse, harmonisant l’être à ce brave séjour contre les créatures étrangères. et les statues, elles ne sont que mouvements dans l’écarlate décor de cette vitalité.

mais que grandiose offrande ne sera que dérogations des adieux, sans qu‘amertume dévore les voies lactés.

mais ce regard, qu’elle fuyait.
et cette description, qu’il faisait.
ô que môme d’une lointaine métonymie, sua, prêtresse des âmes déversées aux plaisirs des monstrueux. d’un miroir brisé, elle s’en devient à la corrélation de poupée tranchante, et d’arme cassée. que des mots ont importance dans l’accord des perdus. mais, oh que les égares veulent se courber de ce malheur, car obtenir ce qui n’est leur est possession de leur pulsation.

et, jolie, j’aimerais bien t’avoir plus longtemps. 

oh sua, d’un cœur arraché de ces maux. prisonnière de cet éternel labyrinthe, ô qu’elle en court à la poursuite de l’infini déroulement. le battement s’arrête, tandis qu’elle se retourne, tremblante dans sa chute sans terminaison. et l’oxygène, pureté que crache sa délicieuse. ténébreux, qu’on pourrait se plonger dans les limbes à travers ce passage mystérieux. d’une colère, d’une angoisse. angélique se voit mordre des créatures, alors qu’ombre se vient à son aurore.
lui.
et, d’un mirage.
l u i.

Yi Dohun
Yi Dohun
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Jeu 5 Aoû - 21:03
Yi Dohun
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et les portes s’ouvrent pour le gamin argent, mais peut-être pas celles qu’il voudrait. parce qu’il est piégé dohun, dans un monde d’illusions et d’artifices. et les secrets virevoltent atour de la famille mystère et de ce qu’ils font réellement dans la vie. et il n’a jamais manqué d’amour pourtant,
mais dohun il a du mal à faire confiance.
du mal à se livrer, du mal à se confier.
parce qu’il y a tellement de choses qu’il ne peut pas dire, ne peut pas expliquer.
peut-être qu’en vérité il n’avait jamais été vrai avec personne.
et ça c’était triste.

mais le temps guéri les blessures, crée les habitudes.
si tu n’as jamais connu d’amitiés sincères, alors elles ne peuvent pas te manquer.
le gamin fait l’étudiant tout-le-monde, celui qui n’a rien à se reprocher si ce n’est des affaires futiles des garçons de son âge.
et il y a bien longtemps que tu ne te poses plus la question.
dis dohun, est-ce que tu es heureux comme ça ?

et pourtant, l’espace d’un instant, ici.
elle est là, comme toujours.

tu y crois réellement. peut-être que tu n’avais pas besoin de grand-chose en fin de compte. peut-être que tout ça c’était suffisant. peut-être que tu devais t’en contenter.

parce que dans son sourire il y voit tellement plus. s u a. et ce n’était jamais arrivé avant. pas comme ça, pas autant. vouloir y passer l’éternité, et bien plus encore, à se perdre dans vos discussions sans grande importance, ou dans ses yeux merveille.

et il y a cette attirance inexplicable.
le destin qui se joue des âmes qu’il entiche, qu’il accroche.
et chaque fois qu’il posait son regard sur elle, dohun il avait le cœur qui valsait.

et il revenait toutes les semaines,
toutes les semaines un peu plus il y tombait
dans cet abysse virtuose qu’elle était.

tradition, client habitué. chaque fois tu prenais une pâtisserie différente. tu voulais tester les différents choix, mais finissais néanmoins toujours par commander la même boisson. et tu passes la porte encore aujourd’hui.

et elle est là, comme toujours.

puis l’homme l’appelle, comme un objet qu’elle n’est pas. jamais. tu fronces les sourcils en regardant d’abord la scène de loin. je t’attends après ton service, qu’on passe du bon temps ensemble toi et moi. remarque supplémentaire qu’il ajoute, passant sur le corps ses yeux immondes.

« ça va ? t’as pas l’impression que c’est totalement déplacé ? » tu dis, d’un ton que tu voulais passif agressif, presque ironique. tu soutiens le regard, droit, d’une froideur dont tu connaissais les secrets. et les prunelles sont assassines comme ça tandis que tu joins les côtés de la belle. et l’homme n’est pas tout de suite intimidé, répliquant pour sa défense que ce n’était pas tes affaires. rictus au coin des lèvres, tu veux lui répondre, mais il te devance. c’est ta copine ? et même si ça ne l’était pas, il n’avait aucun droit de lui parler comme ça.
et pourtant les mots qui sortent sont autres, « oui. » pour qu’il se sente idiot. et désormais l’attention est sur la brune, pour qu’elle suive le jeu.

Rhee Somi
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Jeu 5 Aoû - 21:06
Rhee Somi
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tout se courbe de nuages, ô ténébreux trésor qu’on dévore sous les lumières nuance.
tout se mélange, ô joli mélasse savoureux de senteur.

l’univers est encore brouillon, et pourtant, gamine semble y avoir trouvé ses repères.
l'horloge sonnant bientôt la finalité de son service, et le retour au domicile. vide de présence, froid de son atmosphère. quelle opposition fait le décor native de la demoiselle, néant de ce cosmos où un corps se prend un morceau d’autre s’ils viennent à se pousser des accords. elle aimerait que les étoiles s’arrêtent à l’abîmation, mais qu’elle sait que cette offrande ne passe qu’oreilles oubliantes des cieux. puisqu’ils se musent de ce désastre, de ces astres à la chutée dans l’espace. tournant autour de ce paradis, la porte semble leur être privé de clef.

ô qu’il faudrait que les stellaires s’admirent,
plutôt que s’en détruire.

et comète, qu’elle ne s’imaginait s’en tomber sur la porcelaine dans ce moment là. sans doute qu’on se voulait d’arracher son bonheur, éternelle poupée de supplice où elle n’est que statue de jeu. tout cela l’enrage, ô qu’elle n’est guère cette marionnette qu’ils pensent tous pouvoir posséder. sua, elle n’est que maîtresse d’elle même, et personne ne devrait mettre ces syllabes sur sa personne. mais que créature sans humanité ose continuer attaquer la pureté brisée. les phrasées se sortant de légère terminaison, comme si tout n’était que rigolade.
oh, non.
que le temps se passera sans toi,
monstre monte au dehors des enfers,
ils s’en trouvent trop doux pour ta charnelle démoniaque.

ô bonheur, pourquoi t’échappes-tu dans la danse ?

puisqu’elle aurait rêvé d’arracher les prunelles de l’indigne, ô que catastrophe ne fait que suffoquer la demoiselle dans les vagues sans finité. et le cauchemar recommence, plongeant la poésie dans la morose des raisons. maux divine, à l’écriture symbolique des hauts. idéal voudrait que la musicalité ne soit que divagation, à la lettre égarée de ces sensations. mais que vérité n’a visage, ô qu’ils se ressemble t o u s.

et qu’il pourrait s’en mêler de l’autre, de l u i.
contraste de sa peine, voleur de sa pensée.

silhouette muse, ô artiste de ruelles sans définition. volage mystère se murmurant de son être. et sua, elle s’en dévoile première victime de curiosité. dohun, et son allure venant se glisser dans la corrélation des regardes. elle pourrait s’évader, lointain avec lui. mais les symphonies ne sont jouées pour l’instant, régnant d’un crescendo sans douceur. ((là où les armes où ces vocales qu’elle aurait pu crier bien plus tôt. vous vous prenez pour qui à me parler comme ça ? votre poupée ? votre marionnette ? que le déluge sonne sa liberté, car angélique se dévoile aux spatiales. et sa présence, si chaleureuse, si proche de l’esquisse effacé de l’infante aux constellations boréales. ses paroles, si réalité. qu’elle n’aurait imaginé qu’un jour, quelqu’un se joint à sa peine pour sortir les discours.

alors, dans la rage s'enjolive l’espoir.
celui que, quelque chose d’impossible s’observe l’opposé.

caressant le son, irréel à cette volonté se tuer les ronces. florales ôdes, que la pluie rapporte l’alizé séduit des abysses. jardin d’illusion, que ces mots se posent à son esprit, que ces maux se sourient. et les phalanges, elles se promenent à la recherche des siennes. ô, qu’elle n’était guère seule dans ce labyrinthe jeté des nocturnes. possédant leur allignements, sa main se délicate dans la sienne. ô que la comédie est merveilleuse dans cet orage. oh, je vois. lance la créature face aux âmes mensonges. dohun, viens par là. finit-elle par envoler jusqu’à ces écoutes.

ne quittant leur enveloppe,
oeuvre mosaïque d’un être qu’elle ne veut abandonner.

et les enfants vont, se fuient de ce destin adultérins.
et la lumière d’un artifice se remplace par la lunaire.

Yi Dohun
Yi Dohun
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Jeu 5 Aoû - 21:06
Yi Dohun
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do you love the rain, does it make you dance
when you're drunk with your friends at a party?

et dohun il voit dans les yeux amandes ce qu’il n’a jamais vu dans d’autres. et pendant un instant il croit que tout est possible, qu’il pourrait tout lui dire, tout lui avouer. les iris se rencontrent et il y plonge comme naturellement,
comme une évidence.
sua, c’était cette évidence.
ce genre de sentiment que rien n’explique si ce n’est les hasards du destin qui lient deux âmes l’une à l’autre. et pourtant tu n’es pas des plus romantiques ou des plus niais, loin de ces émotions superflues que la vie compliquée que tu mènes avec tes parents t’empêchent d’avoir pour ceux qui s’en vont.
mais c’est toi qui pars, toujours.

what's your favorite song, does it make you smile?
do you think of me?

tu passes la porte du café où tu as l’habitude de passer. visage familier, atmosphère habituelle, et elle est là. l’homme qu’elle semblait servir à l’instant a pour elle des mots détestables et instinctivement tu interviens. sua ne se laisse pas faire, répondant son agacement. et prétextant qu’il s’agissait de ta copine lorsqu’il le demande, tu maudis un instant le mot qui passe tes lèvres lorsque la brune semble hésiter. mais le jeu mensonge est en marche et elle prend ta main avant que les doigts ne s’emmêlent comme les sentiments qui naissent dans la poitrine. tu t’approches un peu plus de la jeune fille comme réponse à ses mots avant de lancer un regard mauvais à l’homme ne sachant plus trop où se mettre. « vous devriez vous excusez, monsieur. » politesse ironique pour l’homme qui n’en a pas. et il balbutie ses excuses sentant les yeux perçants sur lui. choisissant de l’ignorer ensuite, tu emmènes sua avec toi jusqu’au comptoir, ne lâchant sa main qu’au dernier moment.  

when you close your eyes, tell me what are you dreamin?
everything, i wanna know it all

« hey, au fait. » salutations tardives. tu dis dans un sourire sincère, aussi sincère que ce n’est qu’avec elle. avec sua tout était sincère. et peut-être qu’elle te perdrait au final, mais le gamin est aveugle ou ne voit qu’aphrodite. « il y réfléchira à deux fois la prochaine fois. » tu dis sans même te retourner.
« dohun, viens par là. » tu répètes les mots de la brune, rictus. « j’étais censé être ton copain, pas ton fils tu sais. » complicité dans les prunelles qui cherchent. « mais bon, on avait visiblement l’air crédible ensemble. » tu dis orbes miroirs.    

i'd spend ten thousand hours and ten thousand more
if that's what it takes to learn that sweet heart of yours
and i might never get there, but i'm gonna try

et qu’est-ce que c’était au fond ? sentiment idiot du gamin stupide. le sourire et l’organe battant dans la poitrine lorsque les yeux se croisent où les doigts s’enlacent. romantisme à deux balles de ces contes pour enfants ou de ces films à l’eau de rose. papa et maman s’aiment pourtant, envers et contre tout, et rien n’a jamais réussi à les séparer. dohun il a eu un modèle d’amour de ceux qu’on rêve d’avoir, et pourtant le garçon a longtemps pensé que ce n’était pas fait pour lui.
longtemps.
puis ils se sont rencontrés, détour d’une galaxie, étoiles l’une à l’autre ce qu’est l’indéfinissable attachement céleste.
et c’était sa première fois dohun, la première fois que c’était comme ça, sincère.
la première fois qu’il aimait vraiment.
et on dit souvent que les premières fois font mal.


if it's ten thousand hours or the rest of my life
i'm gonna love you.
.

Rhee Somi
Rhee Somi
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Jeu 5 Aoû - 21:08
Rhee Somi
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arabesques splendides, d’une union mélancolique des pas chassés dans la nuitée. poupée, qu’elle ne voulait plus de s’emprisonner dans les précipices des pulsations. mauvais souvenir, que ses courbes se cachent de ceux qui ne les connaissent guère déjà, sans qu’elle ne le soit d’un accord. l’harmonie, si douce, si dansante que son éclat reflet se brise en morceaux quand les mots se glissent sous les tambours. car ils se sentent tous possessifs de son expression, créateurs du supplice qu’il s’amuse d’illuminer aux noirceurs idées.

ô dohun, si tu oses attaquer ses rythmes, devient prince des promesses acquis d’ a l l è g r e s s e.

donnes moi huit heures, et je te voudrais à l’infinité.


ô, simples mortels se prenant pour hauteur. les nuages vous arracheront la pureté, celle que vous semblez oublier dans la réalité. puisque les songes de vos animations ne sont que jeux, jouer de votre silhouette quand vengeance se découlera sur cette nouveauté.

ô dohun, si tu tombes dans ces paroles, devient traître de l’amativité divisé entre vos deux âmes.


donnes moi neuf heures, et je te condamnerais à la finalité.


pécheur, usant de ce qu’il lui reste de salive pour former cohérence d’une excuse. et sur sua, pansement s’applique à la blessure. des excuses, ce qu’elle n’a jamais eu des monstres. le visage ne délivrant guère des émotions, mais le pulsant se rayonne d’un plaisir. elle pleut, ô que les sentiments sont si agréables. puisque les maux sont vaincus, la caresse des nouveaux jours se découvre à la lueur des victorieux. elle pleut, ô que les discordes commencent à se rendre bonheur de ces défaites. et la demoiselle, elle en avait besoin pour égarer sa culpabilité. ô ronces, qui se tondaient autour de la charnelle, ouvrant à l’univers les ténèbres punisseur d’un acte où elle était qu’observatrice d’elle même. déchirant sa chair, se passant des poisons à la terminaison des iconoclasmes hantant la connaissance des lointains.

car c’était la première excuse qui lui offrait.
car, c’était tout ce qu’elle avait besoin pour se pardonner des méfaits t o m b é s.

et les phalanges ne se quittent, jointes au désir de l’éternité. délicatesse des pas envolés, se posant à la définition de deux corps retrouvés dans les abîmes perdues. oui, pardon. salut. le monde les a poussé aux cages, et l’échappatoire s’accueille comme renouveau des instants passés. tandis que les larmes sont déposées, les vocales semblent plus légères que la rosée. j’espère surtout qu’il n’y aura pas de prochaine fois. volonté que tout redevienne à la bonté, n’est-ce qu’un rêve trop chimérique à embraser ? la phrase sortant tel une demande, celle que les cieux soient plus cléments dans leurs papyrus et que les récits vitalités ne soient guère des expressions déchirés. hé, pourquoi tu te moques. car ça réchauffe ses sentiments, ô qu’elle n’était déjà tombée dans l’illusion sans se l’avouer. d’un esquisse sourire se plaçant sur ses lippes, sa remarque obtient une légère frappe. d’une défense fragile, l’exposant sous les attaques. mais elle ne veut pas le blesser, elle ne comprend pas. attirer à camoufler sa rougeur, l’action s’en est allée dans la description. comédienne de talent, tu ne t’y attendais pas, hein. puisque ce costume ne lui va plus, mais qu’elle s’accumule d’un espoir utopique.


écarlate passion, fuyante des miroitions.
qu’ils étaient destinés, à s’aimer et se détruire pour mieux admirer des florales adorées.


osera-t-elle s’aventurer avec lui, dans les épopées des comètes lyrique poème. d’ailleurs, dohun. les libérés se plongent dans l’ignorance, ô qu’elle tente. merci d’avoir été là, j’ai vraiment peur des situations de ce genre, alors merci beaucoup d’avoir été présent. douloureuse confession, l’harmonie de sa voix démontre l’ivresse euphorie que de s’envoler un de ces poids.

avec l u i.

Yi Dohun
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Jeu 5 Aoû - 21:08
Yi Dohun
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la belle est de celles qui font tourner les têtes pour on ne sait quelle raison tant il y en a de nombreuses.

et elle a souffert poupée porcelaine, beauté fébrile dont les projecteurs ont maquillé l’aisance des malices perverses. et alors que le garçon n’en sait rien, il tombe dans l’abysse des sentiments qui bouleversent. parce qu’il sait qu’elle est forte la belle, et qu’il n’y a rien qu’elle ne puisse traverser, tu voulais simplement être à ses côtés pour la voir triompher des détracteurs et de tous ceux qui auraient pensé un jour la défaire du sourire enjôleur et la voix envoutante.  

et peut-être que l’amour rendait aveugle, mais dohun il voyait bien sua,
il voyait sua des yeux étincelles et feux d’artifices.

sentiment d’appartenir à un univers, quelque part, un paradis particulier où il n’y a que vous sans que rien d’autre ne compte. l’impression d’avoir une place à ses côtés, comme on a une place dans le monde.

complicité dans la mascarade réussie des pantins du destin qui retrouvaient l’un dans l’autre un réconfort certain aux méandres de la vie et hasard des fatalités de la société. « j’espère aussi. » tu rebondis en souriant à la répartie que sua ne perdait jamais. tu ris aussi aux expressions de la brune qu’elle utilise comme pour un enfant, au jeune homme censé partager la vie. taquinerie naturelle lorsque tu étais avec elle, les paroles te valent un coup que tu reçois volontiers, ne riant que de plus bel.  

« non, mais je suis agréablement surpris du coup. » tu lui réponds, plongeant dans les iris, les tiennes qui brillent devant chaque nouvelle partie de sa personnalité qu’elle s’offrait à te faire découvrir les heures passées ensemble. « est-ce qu’il y a quelque chose que tu ne sais pas faire ? » ironie malice déguisée pour la faire rire, de ces phrases enjoliveuses que tu pensais peut-être un peu en réalité.

parce qu’à tes yeux la jeune était talentueuse et tu n’en doutais pas.
elle était belle et rebelle, de ses grâces elle est magique.
et tu ne dis rien, dans les pensées éparses seulement.
mais jamais tu ne te reconnais, parce que tu n’es comme ça qu’avec elle.

« ne me remercie pas, c’est normal. » tu lui dis simplement avant d’avoir finalement une idée. « ou alors si t’y tiens vraiment, j’ai peut-être une idée ? » tu tentes, sourire aux lèvres en cherchant dans les prunelles miroirs une chance qu’on puisse te donner. « qu’est-ce que tu fais samedi ? » tu oses. « je voudrais t’emmener quelque part. »
.

Rhee Somi
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Jeu 5 Aoû - 21:09
Rhee Somi
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aux contemplations, les éléments sont chanceux. dans leur cassure, l’or vient briser leur défaite d’un jour pour glorifier les instants nouveaux. elle avance, demoiselle à l’épiderme volée des regards. gourmandise de cette vengeance, elle s’en est quittée. car, elle ne peut plus qu’avancer, courir, s’envoler vers cette nouvelle liberté. le cosmos l’attend, à la découverte des illusions, que tout ne peut plus aller mal, qu’elle n’a qu’à fuir, qu’à se battre des démons pour s’en sortir.

ô, si tout pouvait être à cette facilité.
elle est curieuse, à l’observation des autres désastres.
rêverie que le sien ne soit que cauchemar, tandis qu’elle se plongerait aux sources lumières des projecteurs. ((mais, réalité a détruit, les cendres d’une comptine si belle)).

et les supplices, à cette ardeur d’un délice.
et les naïades, elles ont demandé pardon à la candide, en offrant les prunelles joyaux qu’il était.

voleur, de ce qu’elle n’a plus voulu trouver de raison. les pulsations veineuses de ce brouillard, alors que les définitions semblent si authentiques. et si, tout n’est qu’écrit dans les poésies ?
s’ils allaient fuir, les dextres s’embraseront à la poursuite de cette délivrance. que la comédienne n’arrête que de jouer pour s’enjoliver des détails de l’individu, alors que les répliques ne seront que suivies d’euphorie. qu’ils sont innocents, les armes arrachées, pour mieux se dérober à cette voie beauté, les émotions à leur volonté. t’étais plutôt pas mal non plus les mots se déversent, sans que les pensées se fassent réflexion à changer. il n'y a plus de temps, les rosées se sont étiolées pour que les vérités soient saccadées de velours phrasés. enfin, moi même, j’aurais pu y croire. que tes mots m’étaient destinés, que ta peau me serait enchantée, que tes journées me seraient rayonnées. cupide étincelle, se cachant derrière l’ôde des riées. sua, aux désirs qu’elle ne voulait avouer.

car elle ne peut s’assumer à cette danse,
que les pas lui sont déjà connus.

car ils ne veulent se regarder à cette valse,
que les corps le sont déjà sonnés.

les lippes sont rieuses, à la possession éternelle de ses expressions. et de sa malice, qu’elle en serait d’ores et déjà assoiffée. ô, que nécessaire demande d’autres répliques, où le seul message serait paradis. pleins de choses, mais tu ne les sauras pas. qu’elle ne peut plus aimer, qu’elle s’en est imaginée décroché de cette possibilité. ((mensonge)).

puis, qu’as-tu à dévoiler, dohun des égarées. les arbres sont lyrisme, à regarder les âmes s'éclater à cette morsure. qu’ils savent de tous, que dohun est cadeau de mystère, attachant les nuitées de la demoiselle à sa définition.

qui es-tu,
pour toi,
ou pour moi.

gracier les chérubins de cette silhouette, sua, elle ne peut s’en hésiter. la tête se hochant, à l’écoute des vocabulaires de son parallèle envier. oui, j’y tiens vraiment, donc dis moi tout. et, qu’elle sourit, alors que le corps se rapproche à son entente. occupant cette zone, la sienne. et, qu’il pourrait l’en rejeter, ou l’en amener de même oxygène.

me...m'emmener quelque part ? impossibilité.

princesse ne peut que tomber,
quand les démons reviennent à lui susurrer les maux. personne ne peut t’aimer sans t’en moquer. qu’ose, à s’en blesser, elle l’accepte à bonté. j’ai quelque chose de prévu, samedi. les traits se divaguent, et la suite se fait honorer. avec toi.

créature,
ne sois reflet du passé.
créature,
deviens être de rester,
si l’on en demande, à jamais.


Yi Dohun
Yi Dohun
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Jeu 5 Aoû - 21:09
Yi Dohun
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i don't quite know
how to say
how i feel


bourgeon qui fleurisse dans l’organe meurtri,
et c’est beau, c’est pur, c’est innocent. dans l’univers du chaos, les pétales d’or et pierres précieuses que les astres ont laissé tomber sur les destins parallèles.
ceux qui pensaient ne pas mériter l’amour.

et pourtant lorsque les âmes entichées se rencontrent enfin, elles font miroiter le monde entier, cette attraction céleste d’un être à l’autre, ce sentiment si fort, si spécial, et pourtant si compliqué. les songes s’éclaircissent et les sentiments règnes, prennent les devants,
et dohun se lance, s’élance.
comme si elle avait inventé l’amour.

et peut-être bien que pour elle il pourrait tout risquer.
les secrets enfouis, tout ce que tu voudrais cacher.
lui dire.
lui crier haut et fort.

et tu te perds encore dans les prunelles douces de sua, comme à chaque fois. un peu plus encore. elle a ce sourire d’innocence et de forteresse, celui qui tromperait hadès, charmerait tous les dieux. et tu voudrais vivre pour ce sourire, camper à ses lèvres, ses mots, son rire. l’amour rend idiot, et tu étais tout simplement tombé dedans.

et tu ne veux pas te réveiller de ce rêve si angélique.
tu ne voudrais penser à rien, vivre dans l’instant. maintenant. tout de suite. avec elle. et il n’y aurait plus rien autour de vous, plus rien, le temps comme suspendu. et dans cet instant précieux tu ne serais plus que dohun, elle ne serait plus que sua. sans les artifices, sans les complexes, sans les mascarades. sans les secrets, sans les peines et les angoisses.
paradis éphémère, illusion.  

we don't need
anything
or anyone


« oui ? » tu confirmes quand elle semble douter de tes mots. et tu espères qu’elle accepte, qu’elle te donne une chance. et ses premières paroles sont durs quelques secondes qu’elle laisse en suspens le cœur en attente. et tes lèvres s’étirent dans la complicité des orbes joueuses. « t’as failli me faire douter. » tu ris sincèrement.
et quel genre de desseins vous attendait ?
« mais bon, comment me dire non, hein ? » dérision amusante et innocente. tu prends ton visage entre tes mains mimant ces visages mignons qu’on voyait parfois à la télé dans les émissions de divertissement.
« plus sérieusement, je suis content. » les iris bienveillantes, tu la regardes comme tu ne regardais personne d’autre. « je voudrais te montrer un endroit, je suis sûre que ça va te plaire. » tu dis avec un brin de mystère.
un endroit que je n’ai encore jamais montré à personne.

parce qu’il n’y avait qu’elle.
et que tu ne cherchais même pas à le cacher.

⌊if i lay here
if i just lay here
would you lie with me and just forget the world?⌋


the end

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