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unexpected jealousy (rp2)
bangchan wife
heidy
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Dim 1 Aoû - 20:34
heidy

unexpected jealousy ★ @"Khan Levi"
ootd - Tu les aimes tes potes, tous autant qu’ils sont, mais quand ils débarquent à la planque et nique ton coup avec Levi tu te sens un peu baisé. Ouai, ça fait beaucoup de mots culcul dans la même phrase, mais tu ne vas pas les mettre dehors pour autant. La joie quand vous êtes tous réunit, le bonheur de boire et manger ensemble comme la famille que vous étiez. Cependant, pour éviter un peu ce plan foireux d’être encore interrompu, tu as décidé de sortir faire un tour, non pas directement pour t’envoyer en l’air avec ton amant, mais parce que tu n’avais rien prévu ce soir, t’avais pas de boulot le weekend et tu aimais profiter de ces moments-là pour t’échapper un peu de ton quotidien. Habituellement à sept, pour la soirée c’était à deux dans cet endroit branché où les jeunes aiment se rendre. Assis à une des tables, tu parles avec Envy, l’ambiance agréable, les regards peu discrets qui se posent sur lui, tu l’observes presque sans gêne toujours avec des désirs cachés, peut-être un peu trop souvent. « Je vais chercher d’autres bières. » Annonces-tu avant de te lever de ta place pour aller au comptoir prendre deux shots. C’est à ce moment-là que tu te fais accoster par une fille qui te fait de grands yeux, un côté séducteur non dissimuler qui vint s’ajouter à la façon dont elle te dévore du regard. Sa façon de t’aborder t’amuse, assez pour que tu lui accordes un sourire et délaisse quelques instants ton véritable partenaire de la nuit. Quand tu reprends le chemin vers la table où vous êtes installés, tu lui montres d'un mouvemet de tête Levi en disant quelque chose qu’il n’a pas pu entendre, mais elle finit par aborder un rire de midinette faussement gêné avant de s’en aller. Déposant la bière à ton amant devant lui, tu gardes la tienne dans ta main pour en boire une grosse gorgée, sentant toujours des regards sur toi. « Tu crois qu’elle va revenir à la charge ? » Tu t’en amuse, mais si elle venait à le faire tu n’hésiterais pas à être plus clair sur le fait que tu n’es pas intéressé, même si ça ne donne pas cette impression c’est pourtant la réalité. Le cul d'Envy te suffit amplement pour avoir besoin d’aller voir celui d’une autre aussi jolie soit-elle.




bangchan wife
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Dim 1 Aoû - 20:34
heidy

unexpected jealousy ★ @"Song Eren"
ootd - la musique qui fait l’ambiance particulière du bar branché de la ville technologique. tu n’avais pas hésité une seconde lorsque l’occasion de passer du temps rien que tous les deux s’étaient présenté. pride ne travaillait pas le weekend, et vu comment les évènements de la soirée se déroulaient, tu imaginais déjà comment vous pouviez la finir.
et tu en avais très envie d’avance.

la dernière fois que vous aviez pu passer du temps ensemble, tout le reste de la bande avait fini par débarquer et tu étais resté frustré tout le reste du temps. vous aviez passé une bonne soirée tous ensemble,
mais jamais rien n’était comme quand vous n’étiez rien que tous les deux.
et bizarrement plus le temps passait, et plus cette pensée obsedait ton esprit. si tout était censé être plus simple s’il n’y avait que du sexe, alors pourquoi est-ce que ça devenait aussi compliqué ? pourquoi tu voulais toujours passer plus de temps avec le chef de la bande,
tes nuits et tes journées aussi.
ce n’était pas simple du tout.
peut-être parce qu’il y avait plus que du sexe.

et tu aimais ce que tu voyais dans ses yeux. luxure et envie, désir brûlant qu’il ne cherche pas à cacher lorsque ses prunelles te dénudent entièrement. et toi tu réponds de tes orbes malicieux, et tes lèvres s’étirent aussi.

être au centre de toutes ses attentions,
c’était ces moments-là que tu aimais le plus.

« d’acc. » tu réponds simplement, regardant l’amant se lever et aller jusqu’au bar. tu t’assois plus confortablement, passant quelques secondes sur ton portable, navigant dans tes notifications avant de relever ton attention sur eren.
qui n’était pas seul.
les sourcils se froncent. tu n’entends rien de leur conversation, mais tu n’avais besoin de beaucoup d’imagination pour deviner les paroles qui pouvaient être échangées. la jeune fille, un peu trop proche, et elle avait un sourire aguicheur sur les lèvres. miroirs de celles de pride.
et ça cogne dans la poitrine.
il revient ensuite et tu tentes de retrouver ton expression nonchalante. c’était difficile.

« je sais pas. vu comment elle te regarde, peut-être que oui. » un peu trop sec. tu prends la bière qu’il t’a apporté, une première gorgée. « qu’est-ce qu’elle t’a dit ? » puis une deuxième. comme s’il te devait quelque chose. ta question se veut innocente, mais personne n’est dupe.  





bangchan wife
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Dim 1 Aoû - 20:34
heidy

unexpected jealousy ★ @"Khan Levi"
ootd - Par moments tu te focalise un peu trop sur le garçon qui s’immisçait depuis longtemps dans chacun de tes désirs, tu n’avais pas envie de te prendre la tête avec des vérités qui pourraient tout gâcher, préférant voir cette attraction comme une chose sans conséquence, basé sur le sexe, le désir, la compatibilité de vos corps lorsque vous sombriez dans vos vices les plus fous. Tu succombes à ce regard qu’il te porte, il succombe au tien, tu dévores parfois dans tes pensées ses lèvres qui t’attirent lorsque tu ne peux le faire dans la réalité, mais entre vous, c’était palpable. Cette ambiance, cette atmosphère qui tournait autour comme une évidence et pourtant, cette même évidence restait sous silence.

Tu te laisses draguer, surement parce que tu trouves ça amusant, loin de là l’idée de te laisser avoir par les beaux yeux de cette femme, mais sa détermination te fait sourire, depuis quand tu n’avais plus joué à ce genre de jeu avec les autres ? Le seul avec lequel tu flirtais c’était « lui ». Le seul que tu désirais voir et faire craquer c’était « lui ».  Bon sang, tu peux être un véritable abruti quand tu restes fixé sur tes règles, pas de compliquer, pas de sérieux, jusqu’à quand cela durera ? Tu n’en sais rien et pour l’instant tu restes insouciant à tout cela, parce que tu aimes les choses comme elles sont, tu aimes ce jeu entre vous, mais peux-tu encore appeler ça un jeu ? Qui sait, un jour tu te réveilleras peut-être en réalisant que la partie est jouée et terminée depuis longtemps ?

De retour à la table tu as abandonné la fille, d'un chuchotement clair pour repousser ses avances, amusé par la scène qui venait de se dérouler, mais peut-être n’est-ce pas le cas de ton amant, qui semble un peu distant. L’observant en tenant ta bière un sourire en coin, pourquoi cela t’amuses ? Ça ne devrait pas t’amuser… Pourtant, tu te surprends à trouver ça mignon, cette réaction. « Ne t’inquiète pas, je ne compte pas finir la nuit avec elle. » Tu le provoques comme toujours, mais ça te semble tellement évident, peut-être que ça ne l’est que pour toi.

Une nouvelle gorgée et tu jettes un regard dans la direction de la fille en question aux paroles de levi. « Elle me trouvait à son gout c’est tout. » Bien que tu lui aies dit pour qu’elle te lâche que tu étais déjà « pris » chose que tu ne mentionnes pas à ton ami. « Pourquoi tu me demande ? » Pour toi ce n'est pas sérieux, tu en rigole, mais étrangement tu sens cette tension chez ton amant, un truc qui te dérange, comme si tu avais fait quelque chose de mal alors que tu n’as juste pas conscience de ce sentiment qui s’impose chez lui, cette « émotion » qui ne devrait pourtant pas exister entre vous…





bangchan wife
heidy
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Dim 1 Aoû - 20:34
heidy

unexpected jealousy ★ @"Song Eren"
ootd - penchants jaloux du gamin possessif. et bien que tu veuilles pouvoir cacher ce que tu ressens vraiment, tes yeux trahissent toujours tes pensées. on lit en toi comme dans un livre ouvert, parce que tu ne sais pas faire semblant. tu ne sais pas mentir, tu ne sais pas feindre ce que tu ne ressens pas, et sans doute encore moins enfouir ce qui se passe réellement dans ta tête.
et c’était problématique, aujourd’hui plus que tous les autres jours,
avec eren plus qu’avec n’importe qui d’autre.

ça t’agace, ça t’énerve. tu serres les dents, prends sur toi. tu réponds un peu trop durement, puis commence à boire ton verre. tu ne voulais pas être curieux, tu ne voulais pas demander, tu ne voulais pas qu’il pense que ça t’intéressait. ça ne t’intéressait pas. tu t’en foutais. ça n’avait aucune importance.
répète encore pour essayer de t’en convaincre.    
et le gamin laisse pourtant les mots passer ses lèvres. tu voudrais la question innocente, mais vous saviez au fond tous les deux qu’elle ne l’était pas.
et eren joue.

« qui s’inquiète ? » tu réponds en étant détaché. « pas moi en tout cas. rêve pas trop. » tu en rajoutes, évites son regard et fronce les sourcils. s’il prenait ça à la rigolade et comme un jeu, pas toi.

pas toi.
pas toi ?
depuis quand ?


elle me trouvait à son goût. les prunelles qui s’arrêtent un peu plus loin, vers elle. et tu fusilles du regard la silhouette pourtant innocente. pour qui se prenait-elle ? si elle avait pour idée de finir sa soirée avec un inconnu, alors qu’elle choisisse mieux. qu’elle n’essaie pas d’avoir ce qui était déjà à toi. regard révolver, tu tuerais sans doute de tes iris, mais la question de l’amant te ramène sur votre conversation. tu restes un instant interdit, la question te prenait de court.

pourquoi tu demandes, levi ? pourquoi tu voulais savoir ? quelle réponse te paraîtrait la plus crédible, la plus simple à entendre, la moins compliquée à prononcer ? « pour rien. » nouvelle gorgée, toujours agacé et contrarié. c’était particulier, un sentiment étrange. « t’étais pas obligé de répondre si tu voulais pas le faire, c’était juste une question. » tu retournes la situation. en quoi c’était étrange de demander ? tu l’aurais demandé à n’importe qui, que tu couches avec ou non. et eren il avait ce rictus dans ses yeux, cette impression de n’absolument rien te devoir, n’avoir aucun compte à rendre.
de se jouer de toi et de ce que tu pouvais ressentir,
il nargue.
il faisait ce qu’il voulait,
et bizarrement ça t’énervait particulièrement ce soir.

tu voulais l’avoir pour toi. la dernière fois que l’occasion s’était présentée, vous n’aviez rien pu faire car tous les autres avaient débarqué, et maintenant que vous aviez votre soirée, il regardait ailleurs ? tu en voulais plus. plus de vos moments, plus de lui. parce que toi tu n’avais personne d’autre, tu n’avais envie de personne d’autre.

pourquoi est-ce que jusqu’ici tu avais cru que c’était réciproque ?

après-tout, il avait sa vie avant toi, et il en aurait bien évidemment une après.
tu n’étais sans doute pas aussi spécial que ça, si ?
« qu’est-ce que tu lui as répondu ? t’as pas voulu passer du temps avec ? » idiot. tu oses sans réfléchir. il y a cette partie de toi qui voudrait qu’il réponde quelque chose,
et puis il y a ta raison.    





bangchan wife
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Dim 1 Aoû - 20:35
heidy

unexpected jealousy ★ @"Khan Levi"
ootd - Tu n’as aucun intérêt à rendre jaloux Envy, de toute façon pourquoi le serait-il ? Entre vous la relation est claire depuis le début avec des paroles, des closes échangés comme un contrat scellé. Plus tu te dis que votre relation n’a rien de compliqué et plus tu réalises que ce n’est pourtant pas si simple. Bien que tu n’aies juré aucune fidélité tu n’as rien à te reprocher. Te faire draguer arrive souvent, tu n’es pas moche et tu es même très attirant pour le regard des femmes en quête d’un partenaire, mais ce n’est pas pour autant que tu cèdes à leurs beaux yeux, aussi jolies soient-elles. Cela ne t’empêche pas d’embêter ton amant, ne pensant pas que cela pourrait le toucher personnellement de te voir ainsi courtisé.

« Ah bon ? Donc tu ne veux pas passer la nuit avec moi ? » Tu sens cette frustration derrière les mots de celui qui partage tes moments intimes, ton partenaire de « crime » caché des regards où vous aimez vous réfugier tous les deux comme un jardin secret que vous avez créé.

Est-ce réellement un jeu ?
Juste un jeu ?
Tu t’en convaincs toi-même ou tu ne te demandes pas si c’est le cas, voulant éviter de te retrouver piégé dans des sentiments que tu voulais éviter.

Le regard que Levi porte en direction de la jeune fille ne t’échappe pas, tu observes celle qui un instant auparavant espérant t’avoir dans ses bras, puis repose tes iris sombres sur ton amant, un sourire naissant sur tes lèvres sous cette question que tu laisse échapper, en quête peut-être d’une vérité que tous deux cherché à étouffer.

Pour rien.

Tu prends une gorgée de ta boisson, haussant les épaules. « Pourquoi je ne répondrais pas, ce n’est pas comme si j’avais quelque chose à cacher. » ça ne te dérange pas de lui dire, mais peut-être qu’une part de toi aussi inconsciente soit-elle avait espéré une autre réponse, une qui se lit dans ses gestes, mais pas dans ses mots. Tu gardes cette esquisse malgré toi alors que tu ne quittes pas du regard l’homme en face de toi, pourquoi agit-t-il ainsi ? Pourquoi serait-il jaloux ? Tu as l’impression d’être un idiot à te poser ses questions, tu te fais des idées ou alors tu espères une chose qui ne peut arriver ? Si seulement tu savais ce que tu voulais, mais tu continues à fuir et à te barricader derrière ce : « que du sexe pas de sentiment » qui t’empêche de voir au-delà de ce que tu ressens vraiment.

Puis lui. Que ressent-il en te demandant ce genre de chose ? Qu’est-ce qu’il attend de toi ? De ta réponse. Tu le juges comme pour lire en lui, il est pourtant si aisé de voir à travers, mais tu es comme Envy, jouant l’aveugle. « Je lui ai dit que j’étais déjà pris, pourquoi je n’aurais pas dû ? » Pourtant de ton côté il est le seul que tu désir, au moins sur ça tu es honnête envers toi-même.






bangchan wife
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Dim 1 Aoû - 20:35
heidy

unexpected jealousy ★ @"Song Eren"
ootd - la jalousie est une émotion qui représente des pensées et sentiments d'insécurité, de peur et d'anxiété concernant la perte anticipée ou pas d'un statut, d'un objet ou d'un lien affectif ayant une importante valeur personnelle.

le verre qui se vide petit à petit comme si le breuvage pouvait calmer tes sentiments enfouis. sur la défensive, tu retournes les questions dans ta tête pour les laisser s’évaporer en vain en tentant de te convaincre que tu ne ressentais pas
ce que tu savais très bien ressentir.

« c’est pas ce que j’ai dit. » tu réponds rapidement, tu ne veux pas t’attarder, tu ne veux pas t’expliquer. tu ne le regardes pas dans les yeux, tu fuis pour mieux rebondir. retourner la situation.

et c’était l’évidence. l’évidence de ces desseins, de ceux qui croient pouvoir vaincre les attirances qui les dépassent.
il y a bien longtemps que tu ne joues plus, levi.
et le temps n’arrangera rien.

désinvolture du plus grand, plus mature sans doute. ou peut-être qu’il n’avait tout simplement aucun compte à te rendre, aucune prise de tête ou aucune réflexion sur la relation qui vous liait réellement. c’était censé être ça après tout votre arrangement, du sexe et pas de sentiment, pas de complication. pride jouait simplement son rôle à la perfection, un peu trop même pour ton égo blessé.
pourquoi ce n’était plus aussi simple pour toi ?
insécurité, anxiété.
levi qui perd pied, qui ne sait plus.
qu’est-ce que tu veux ? qu’est-ce que tu cherches ?
tout se mélange et plus rien ne tient debout.

et c’est bizarre parce que ses mots te font plaisir cette fois.
elles te rassurent.
tu étais sa priorité ce soir,
tu voudrais l’être toujours, mais à quoi tu penses ?
et il t’avait choisi devant toutes les autres en qui il aurait pu se perdre cette nuit, tous les autres chez qui il aurait pu finir la soirée. « si, si. » sourire que tu arrives à peine à cacher. « j’ai pas dit que c’était pas une bonne chose. » tu ajoutes avant de te reprendre. « enfin, je veux dire c’était ce que tu étais censé dire de toute façon. » reprenant un peu plus confiance en toi. « j’imagine qu’on n'est pas venu ici pour boire un verre et se quitter juste après. » jeu de regard, tu soutiens les prunelles amantes.    

tu te lèves ensuite, ton verre toujours à la main venant t’asseoir à côté d’eren, quittant la place d’en face, le regard un brin furtif vers la jeune femme qui semble vous observer encore au loin. « qu’est-ce que tu nous prévois ensuite ? » tu viens lui chuchoter à l’oreille, tu joues, provoques,
tu veux montrer à tous qu’il n’est qu’à toi. greedy.
la main qui vient chercher son visage, l’approcher du tien. « où est-ce que tu m’emmènes ? » les lèvres bien trop proches et tu jubiles des regards que les autres auront sur vous, décidé à garder pour toi ce que tu décidais t’appartenir.
envy, regarde à quoi tu en étais réduit.  






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Dim 1 Aoû - 20:35
heidy

unexpected jealousy ★ @"Khan Levi"
ootd - Le destin joue des tours auxquels personne ne peut rien, tu aurais dû te méfier de cette rencontre qui t’avait troublé, toi l’indomptable rebelle qui gardé éloignait les sentiments pour ne pas sombrer. Tu savais ce que c’était d’être en trop, rejeté, de te sentir paumer, des amis tu pouvais les aider et les protéger, l’amour c’était bien plus compliqué. Pourtant, tes manipulations se retournent contre toi, ce pari risqué que tu avais pris la peine de lancer semble te conduire dans une direction opposée que celle que tu espérer. Envy était tout ce que tu voulais éviter, inconsciemment c’est surement la raison pour laquelle tu ne pouvais assumer ce que ton cœur savait déjà, tu étais piégé dans ce jeu, mais tu te débattais encore pour que cela ne soit pas une réalité. L’attirance que tu ressens envers lui, le désir de l’avoir à tes côtés et de le toucher, ça pouvait sembler que du sexe, qu’une folie des corps qui s’enlace inlassablement, mais tu aimais ça. Ce regard qu’il te porte, ce que tu lis dedans, cette pointe de jalousie qu’il cache et que tu soupçonnes, jouant avec pour mieux le voir succomber. Tu es cet homme qui semble détacher, mais qui pourtant est menotté à ce désir de le posséder, lui et lui seul.

La nuit commencée à peine et tu savais avec qui tu voulais la terminer, ce n’était ni cette femme qui te dragué, ni aucune autre qui t’observer, la vérité tu l’as connaît, le seul pouvant te donner ce que tu désir et prendre ce que tu donnes se trouve face à toi, bercé dans cette insécurité que tu observes chez ton amant. Besoin de le rassurer surement avec ton honnêteté, qu’importe qui vient te chercher tu ne le laisseras pas tomber. Ce sourire sur ses lèvres ne t’échappe pas alors qu’il change de comportement pour te rejoindre, assis à tes côtés.

Il joue, provoque, jubile, tu le sais et ça te plaît. Cette esquisse sur tes lips quand il t’interroge, son souffle proche de ton visage et tes iris se perdant dans les siennes. Ton visage se rapproche de celui d'Envy, le monde semble silencieux, presque inexistant, seul ce gamin te fait te sentir ainsi, pourquoi ? Pourquoi lui ? Tu pourrais te questionner sur des tas d'interrogations sans trouver de réponse, à quoi bon ? Tu l’as dans la peau, c’est comme ça.

« Là où je suis le seul à pouvoir t’emmener. » Souffles-tu sûr de toi en détaillant ce visage trop prêt, assez pour que vos lèvres se frôlent sans pour autant s’épouser, bien qu’isolé, trop de monde pour profiter. Pride attrape son verre pour le finir d’une traite. « Et on devrait y aller maintenant. » Pas de choix laissé, tu ne comptais pas quitter si tôt ce bar, mais avec Envy tu aurais dû t’en douter, c’est toujours ainsi que ça ce fini, incapable de résister à cette chaleur qui t’assailles, un désir de briser les règles, de briser les tabous, juste pour être avec celui que tu t’entêtes à considérer comme un amant, un simple amant… Un amant qui pourtant te rend fou et que tu ne changerais contre personne d’autre.

À l’extérieur tu le mènes dans la rue voisine, sombre pour le plaquer contre le mur pour l’embrasser, il t’a cherché, provoqué, tu cèdes à son appel sans te retenir, avide et gourmand dans ce baiser profond, bien plus honnête que ton incapacité a réalisé tes vrais sentiments.







bangchan wife
heidy
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Dim 1 Aoû - 20:36
heidy

unexpected jealousy ★ @"Song Eren"
ootd - tu joues du charme et exagères sans doute les traits pour leur montrer à elles toutes et même à eux s’ils osaient, que pride n’était qu’à toi.
tu changes de place, te rapproches, et lui aussi sombre dans cet abysse étrange qu’il n’y avait qu’entre vous. échange de regards significatifs. les lèvres se frôlent dans la réponse suave du plus grand. et le sourire se lit pleinement, les iris amusées aussi. levi il aime ce jeu, il aime cette tension qui les lit.
tu finis ton verre d’une traite en imitant pride et te lèves à sa suite, enjoué de le suivre partout où il t’emmènera. vous sortez du bar bien tôt, mais peu importe. tu le suis jusqu’à un passage isolé où il se colle brusquement à toi pour capturer les pulpeuses.

et c’était comme ça aussi d’habitude,
instincts bestiaux des corps amants aimants qui se cherchent et se trouvent presque violemment.
et dans n’importe quelles circonstances tu aurais suivi ces lubies, mais étrangement
et ce soir seulement,
il y avait cette voix ou cette pression en toi,
le battant dans la poitrine.

cette fois tu voulais autre chose,
cette fois tu voulais plus.


tu ne voulais pas l’embrasser sauvagement sur le mur d’une ruelle sombre où les désirs se réalisaient. tu ne voulais pas que ce soit comme d’habitude.

du plaisir et pas de sentiments
et si cette fois ça ne te suffisait plus ?
constat effrayant que tu voudrais chasser, et pourtant envy il demande, envy il quémande.
caprices ou réels désirs,

tu voulais le faire correctement.
tu voulais le faire bien.

« on peut aller chez toi ? » tu oses demander, détachant un instant tes lèvres des siennes. vous auriez sans doute pu prendre une chambre d’hôtel ou commencer les hostilités ici, à l’abris des regards. tu lui avais laissé les rênes de la soirée, tu disais vouloir le suivre partout où il déciderait que vous iriez,
et pourtant tu voulais choisir le lieu.
tu voulais plus.

« je veux pas qu’on nous dérange si on va au hangar.. » tu t’expliques, prétexte peut-être, mais tu précises aussi presqu’encore boudeur de vos dernières tentatives vaines. ce soir tu ne voulais pas être dérangé, tu voulais que personne ne puisse vous arrêtez où vous restreindre.
tu ne voulais qu’être à lui et lui n’être qu’à toi.

que du plaisir, pas vrai ?

« eren..? » tu insistes, le repoussant un peu pour que vos regards se croisent sincèrement. « je veux pas le faire comme ça. » tu soutiens les pupilles, comme tentant de faire passer un message silencieux.
et comment est-ce que tu veux le faire alors, levi ?
plus.






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unexpected jealousy ★ @"Khan Levi"
ootd - Tu lui succombes, comme toujours tu te laisses envahir par son regard charmeur, son comportement lourd de sens, lorsque tu te perds dans ses iris, te noie dans ses paroles, au fond tu n’as qu’une envie c’est de t’échapper de l’ambiance sociable qui t’entour, de tous ses gens devenant inexistant peu à peu, jusqu’à vouloir totalement les évincer complètement. Ton but est évident quand tu quittes cet endroit avec ton amant plaqué sur un mur pour échouer tes lèvres sur les siennes comme un besoin vital, avidité incontrôlée de vouloir céder à tes désirs, Envy est ta faiblesse, celle que tu n’avoues pas, celle que tu laisses couler dans ton inconscient alors qu’au fond, tu le sais. Tu l’as dans la peau, mais pas seulement…

Ton cœur aussi.
Tu es déjà empoisonné de son être tout entier, mais tu t’entêtes à croire que tu peux t’en soigner, que tu pourrais t’en passer. Le pourrais-tu ? Alors que tu deviens si incontrôlable et faible face à lui, cédant à la première occasion pour te retrouver seul avec lui, ce n’est pas le corps ni les lèvres de ces personnes qui te draguent que tu veux, te fichant totalement du succès que tu as auprès d’eux, même si on pourrait t’imaginer céder ailleurs, succomber à d’autres, il faut croire que tu es plus fidèle à cette relation non officielle que tu le pensais au début.

Levi est ta proie comme tu es la sienne. Un double jeu où la vérité se mélange à cette indépendance désiré, mais devenu bien plus compliqué. Car tu es dépendant désormais. Dépendant de lui, dépendant de ces moments que vous partagez, de sa bouche, de son regard, de ses mains, sa peau, son corps, de ce qu’il est. Alors pourquoi ne pas l’avouer ? Pourquoi te cacher derrière cette « promesse » d’une relation sans amour, sans rien de plus que du sexe ? Tu te convaincs que c’est ce que tu veux, pour la première fois de ta vie tu te mens à toi-même avec tant de conviction que tu pourrais y croire.

Et lui ? Envy, qu’en pense-t-il ? Tu l’observes contre ce mur après ce baiser sauvage, mais tu entends sa requête et l’acceptes, d'un simple mouvement de tête. « Moi non plus. » Souffles-tu comme une évidence à sa phrase, frustré toi aussi d’avoir été interrompu, la leçon retenue tu n’avais pas l’intention d’aller forniquer au hangar ce soir. Main sur sa joue, tu te retiens de reprendre ses Lips en otage, bien trop tenté, mais « repoussé » par ton amant qui pose ce regard presque trop profond dans le tien. Sa phrase te paraît lourde de sens, mais que dois-tu comprendre ? Pas le faire dans la rue ? Tu ne comptais pas le faire ici non plus. Est-ce plus ? Que veut-t-il ? Ton regard le questionne d’abord en silence, puis le brise. « Tu deviens de plus en plus gourmand non ? » Plaisanterie ou réalité dissimulée, loin d’être un reproche, tu penses à cette soirée, son comportement. Sa « jalousie » dont tu t’es moqué et amusé, mais que tu as bien cerné. Est-ce que tu veux continuer de jouer les aveugles ou enfin voir l’évidence que toi et lui, vous n’êtes plus dans un jeu, les sentiments que vous rejetiez vous ont dépassés, pris de cours, envahis jusqu’à la moelle.

Fuir. Ce n’est pas toi. Pourtant tu ne mets rien au clair et enfouie tout comme un secret scellé.
Besoin de plus. Toi aussi tu as envie de faire les choses autrement. « Viens. » il est temps d’aller chez toi comme l’a demandé Levi, tu ne vis pas dans un palace, tu ne roules pas sur l'or et ramène peu de gens ici, mais c’est là où tu vis. Le chemin se fait dans le calme, comme pour mettre en pause les mots, la passion et le désir.

Chez toi, tu ouvres la porte et la ferme à clef dès que vous êtes entrée avant de tirer Envy contre. « Comment est-ce que tu veux faire ça ?  Moins sauvage ? Plus doux ? Plus passionné ? Moins bestiale ? » Tu l’interroges sincèrement en cherchant à lire en lui, vous vous laissez bien trop guider par vos pulsions, votre folie, allant jusqu’à défier les règles pour assouvir vos désirs.  






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unexpected jealousy ★ @"Song Eren"
ootd - il réveille en toi ce que jamais personne n’avait révélé. et dans ses yeux tu voudrais voir ce que tu n’as jamais cherché chez personne d’autre. et chaque jour tout ça devient plus lourd à porter, plus lourd à cacher. chaque fois que vos lèvres dansent ensemble, vos corps valsent, vos peaux se touchent ou vos orbes se croisent.
chaque fois que vous passez des heures de plaisir ensemble, ou des heures tout court. les mots, les gestes, les regards. plus. le gamin devient gourmand, comme si tous les péchés ensemble se rencontraient pour les beaux yeux d’un seul, pride.

tu ne te reconnaissais pas. si jamais un jour tu n’avais pu te connaître. jalousie, colère, contre des personnes innocentes qui n’avait pour crime qu’oser poser les yeux sur ton amant. c’était stupide et tu te détestais bien pour ça. promesse, accord qui vous liait. tout cela semblait bien loin lorsque le battant dans la poitrine se mettait à faire des siennes.
et lorsqu’eren te pousse contre ce mur l’évidence frappe. plus. tu veux plus. et même si tu sais que tu ne devrais pas, même si tu sais qu’il faudrait lutter encore, ne pas céder, ne rien laisser transparaître. les mots passent tes lèvres, lourds de sens, un sens que tu ne voudrais pas leur donner,
et pourtant.

le temps s’arrête un instant tandis que vous vous perdez l’un dans l’autre, prunelles miroirs. tu encaisses ses mots difficilement, ne sachant pas exactement quel sens est-ce qu’il leur donnait lui. tu deviens de plus en plus gourmand. il n’avait pas tort. qu’est-ce que tu faisais envy ? dans quoi est-ce que tu l’embarquais ce soir ?
tout ça, ça ne faisait pas parti du deal.
tu ne réponds pas, soutiens encore son regard quelques secondes seulement avant de céder et fuir les iris. le silence était particulier et toutes sortes de questions se battaient dans ton esprit. et tu priais simplement pour qu’il accepte, pour qu’il comprenne.
levi drôlement docile ce soir.

et lorsqu’eren se décide à ce que vous alliez chez lui comme tu l’avais demandé, tu le suis simplement. sur le chemin tu ne dis rien et lui non plus. ce sont des images qui défilent, que tu revois. votre première rencontre et votre premier baiser, votre première fois. comment est-ce que tu n’avais pas pu voir tout ça arriver ? les sentiments. pour qui est-ce que tu te prenais ? gamin qui n’avait encore rien connu à la vie. comment tu pensais pouvoir y échapper ? prétentieux, capricieux. celui qui pense pouvoir tout avoir et qui finit par tout perdre,
jusqu’à sa fierté.
tu n’étais pas comme ça. tu ne cédais pas le premier, tu ne développais pas de sentiment, tu ne tombais pas amoureux. ce n’était pas toi ce gars-là, et tu ne voulais pas être lui.
tout gâcher. tu allais tout gâcher pas vrai ?

les minutes qui vous séparent de chez pride filent bizarrement comme une éternité, mais lorsque vous arrivez enfin tout te parait se passer trop vite. il n’était pas trop tard pour revenir sur tes mots, pour faire comme d’habitude. attaquer ses lèvres et son pantalon, et laisser aller les désirs, les plaisirs. il referme la porte derrière vous et tu finis à nouveau plaquer contre elle, il te dévore des yeux. c’en est troublant.
et il te laisse une ouverture, une sortie. comment est-ce que tu veux faire ça ? une façon de revenir sur les actions et les mots que tu avais prononcé juste avant. une chance de tout recommencer, de revenir en arrière. une chance de lui dire que tu voudrais le faire comme vous en aviez l’habitude.
rien ne changerait.
pas de sentiment. pas de complication.

mais les prunelles hypnotisent,
et tu ne peux pas leur mentir.  
 

« je… » et comment est-ce que tu pourrais décrire ce que tu veux, ce dont tu rêves avec lui. plus. tu en voulais juste plus. ce n’était pas une question de douceur ni même de passion, ce n’était pas une question de bestialité ni de sauvagerie. c’était plus. juste plus. plus de tout ça, tout à la fois, tu ne voulais rien mettre de côté en te forçant à devoir choisir.
mais tu ne pouvais pas lui dire, pas vrai ?
ce n’était pas ce que vous étiez censés être.

« est-ce qu’on peut le faire… » tu hésites, tu ne sais pas comment est-ce qu’il l’interprètera. et pourtant tu oses, « est-ce qu’on peut le faire comme si ça comptait ? » le regard que tu soutiens, le regard que tu offres. moment de faiblesse que tu lui cèdes,
juste à lui,
juste pour lui.

si ce n’était qu’une fois, alors ce n’était pas tellement grave, si ? « comme si ça comptait vraiment. » toi, pour lui. comme s’il n’y avait rien de plus précieux que toi et lui ce soir. gamin qui voudrait être rassuré d’une chose qu’il ne devrait pourtant pas convoiter.






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unexpected jealousy ★ @"Khan Levi"
ootd - Tu l’entends, tu le comprends, tu n’assumes pas tes sentiments ni tout ce chamboulement que tu ressens, mais tu vois dans son regard cette lueur se refléter, t’attirer. Tu ne veux pas voir l’évidence en fuyant la réalité, tu cherches à faire échouer ses pensées qui parfois pourraient te faire oublier ces mots échangés, ce deal prononcé, comme un mantra qui revient encore et encore pour t’éviter de sombrer trop bas. Est-ce que tu veux du changement ? Est-ce que tu veux que ça soit sérieux ? Pour toi ne l’est-ce pas déjà ? Tu ne le sais peut-être pas, mais ton cœur est pris au piège dans une cage nommé Levi, mais tu t’échappes à chaque fois que tu te veux plus sensé, plus réfléchis, surement aussi plus effrayé à l’idée que tout cela prenne de l’ampleur, que tout finisse par devenir trop gros, à prendre trop de place et se brise. Tu veux garder ça, cette relation, lui, tu veux garder ce que vous partager intact, cette liaison parfaite, ce désir se consumant dans vos plaisirs les plus fous.

Le chemin jusque chez toi a été calme, mais une fois de nouveau isolé entre les murs, à l’abri des regards, seuls. Tu prends le contrôle de nouveau, plaquant ton amant en l’interrogeant. Tu cherches, tu devines, tu traces ses traits, son regard, ses expressions que tu veux capter. Qu’est-ce qu’il souhaite, que veut-t-il ? À quoi est-ce que tu t’attends ? Que veux-tu entendre ? C’est flou, tu ne sais pas toi-même, mais tu sais une chose, cette relation pour toi est importante. Lui, il est important.

Le regard profond dans le sien, tu fixes, attends, pendu à ses lèvres que tu voudrais embrasser. Levi veut plus, mais qu’est-ce qui est « plus » à ses yeux ? Tu veux savoir. Il hésite, ses phrases se coupent et tu t’impatientes, l’incitant à parler. « Comme si ça comptait ? » Tu répètes malgré toi, surpris par cette demande. Tu ne sais pas comment l’interpréter car même si ce « que du sexe » persiste dans votre relation, pour toi ça compte. Tu le réalises peut-être seulement maintenant, en l’entendant te faire cette requête, mais est-ce que tu as donné l’impression de n’être qu’une bête ? Vous deux vous envoyez en l’air où bon vous sembles, vous le faites dès que l’envie vous prend, ignorant les règles, tu dois bien avouer que vous êtes fous, mais tout ça, tu ne le fais qu’avec lui, tu ne veux le faire qu’avec lui… Cette pensée te fait trembler, il est déjà cette personne unique, mais tu n’es pas prêt à le dire, pas prêt à l’affirmer.

Alors tu te tais.

Plus qu’une réponse, ta main caresse sa joue, se glissant dans son cou pour finalement briser la distante entre vos lips, le baiser est doux, pas moins avide, mais sûrement plus « amoureux », tu ne te force même pas, tu as envie de lui prouver que ça compte pour toi. « Qu’est-ce qui te fait dire que ça ne compte pas ? » Chuchotement, ton cœur s’emballe, tu ne devrais sûrement pas le dire ainsi, mais toi aussi tu as des faiblesses. Tu convoites plus que tu ne devrais, tous deux êtes dans le même bateau sans même savoir à quel point vos désirs se rejoignent.

Idiots

Pour le moment tu comptes simplement agir, arrêter de parler, éviter le faux pas, tu glisses tes mains sous le haut de ton amant pour toucher sa peau, te retenant d’aller trop vite, tu profites. Douceur, chaleur, tu laisses tes lèvres se glisser dans son cou, embrassant son épiderme, l’odeur de sa peau, les zones qui lui sont sensibles et que tu connais tant. Si ça ne comptait pas, est-ce que tu ferais attention à tous ses détails ? Tu es dingue, dingue de lui, mais en prendre conscience semble si compliqué pour toi qui est si borné.






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unexpected jealousy ★ @"Song Eren"
ootd - et encore une fois les mots sont difficiles à prononcer, à organiser. est-ce que tu avais le droit de lui avouer ? est-ce que tu devais le faire ? tout est trop compliqué, tellement plus que ce dans quoi vous vous étiez engagés au départ.
et tu te perds dans les yeux comme tu t’es perdu dans tous tes sentiments, ressentiments.
la tendresse des corps qui s’assemblent dans une brutalité pourtant enivrante. c’était pour elle que tu étais tombé, c’était elle qui t’avait retourné l’esprit et pour laquelle tu devenais friand de tout, de lui.
et en cet instant tu voudrais lui dire, lui avouer. tes angoisses, tes envies, la vitesse à laquelle bat ton cœur lorsqu’il est question de lui. ta jalousie quand il est dans les bras d’un autre ou d’une autre, les mots que tu voudrais lui faire dire, les mots que tu voudrais entendre. lui dire que tu regrettes tout ça, de rendre tout compliqué, de rompre la promesse et l’engagement dans lequel vous vous étiez lancés au début.

parce que toi tu ne jouais plus.
tu ne pouvais plus jouer quand inévitablement les sentiments étaient là.
c’était trop tard maintenant, tu voulais tout de lui et plus seulement ce qu’il était prêt à te donner.

que ça compte. le faire comme si ça comptait, comme s’il n’était plus uniquement question de plaisir ou de fantasmes. comme si tu étais le seul être à ses yeux comme il est l’unique aux tiens. tu demandes en hésitant, ne sachant pas trop comment l’expliquer. et tu fuis les iris, par peur du jugement, par peur des réponses que tu ne voulais pas entendre. pride répète tes mots et tu sens tes joues rougir contre ta volonté, l’impression d’être totalement à nue devant le chef de la bande. la surprise te prend lorsque sa main rencontre ta joue, et les orbes se connectent une fois encore. tu fonds contre ses lèvres lorsqu’il les dépose sur les tiennes, et il y a ces étincelles dans tes yeux hypnotisés par leurs âmes-sœurs, paupières pourtant clauses. l’échange est délicat et particulier, peut-être différent de tous les autres que vous aviez eu. et le battant dans la poitrine s’affole quand l’évidence est palpable.

tu avais des sentiments pour eren.
tu ne voulais plus que du sexe, tu voulais plus que du sexe.

et tu ne quittes pas ses prunelles tandis que sa question résonne en toi. murmures, comme un secret que vous deviez partager. tu voudrais pouvoir réfléchir à ta réponse, mais tout est tellement fort que tu n’arrives pas vraiment à raisonner.
ses mains passent sous ton t-shirt et tu frisonnes presque à leur contact, ses lèvres sur la peau sensible de ton cou. tes doigts viennent s’enfouir dans ses mèches de cheveux tandis que tu tentes de répondre, mais c'est simplement un « eren… » que tu laisses échapper dans un souffle.

« t’aurais passé la soirée avec elle ? » tu oses demander. « si j’avais pas été là tout à l’heure. » tu repousses un peu le garçon pour qu’il quitte ton cou et que les yeux s’affrontent. « c’est pas si important alors. ça pourrait être avec moi comme avec n’importe qui d’autre qui te plaît. » tu tires tes propres conclusions. faisant allusion à la presque crise de jalousie que tu lui aurais piqué dans le bar il y a à peine une heure.
si ça avait été, tu n'aurais voulu personne d'autre que lui.
et c'était peut-être ça le problème.






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unexpected jealousy ★ @"Khan Levi"
ootd - Si tu es celui qui guide, celui qui rassure, cet homme de confiance sur qui on s’appuie, avec Levi tu es têtu, borné, enfermé dans cette bulle que tu voudrais préserver. Tu t’es lancé dans cette relation sans imaginer une seconde ce qui t’attendait, certain de ne pas te laisser piéger ni voir des sentiments s’imposer. Tu t’es fourvoyé, te mentant à toi-même pour ne pas assumer que tu t’es trompé. Toi la franchisse, l’honnêteté, tu ne vois pas ce qui te pend au nez. Ta façon de le toucher, de le laisser te toucher, de vous embrasser, d’être toujours attirés l’un par l’autre, est-ce normal ? Il est le seul que tu désir à ce point, que tu désires tout simplement. Vouloir plus ? Plus que quoi ? Plus comment ? Tes mots résonnent en échos aux siens, ça demande te semble étrange. Comme si le sous-entendu était bien plus gros, mais plutôt que de chercher plus d’informations, tu l’embrasses.

Douceur.
Mais pas que.

Tu le sens ce cœur battre, s’enflammer pour celui qui rend ta vie si animée, à travers cette relation cachée et ses sentiments naissants, tu te noies en lui, dans cette lueur se trouvant dans ses yeux. Les mots s’échappent comme s’ils n’auraient pas dû être entendus, mais ce murmure est le reflet de ce que tu ressens. Ça compte déjà, depuis longtemps. Seulement, ni toi ni lui ne fait l’effort de le clarifier, se perdant un peu plus dans cette folie, rattaché à la promesse d’être seulement amant pour le plaisir et non pour les sentiments.

Tes doigts sur sa peau, tes lèvres sur son cou, tu es prêt à lui donner ce qu’il réclame, mais Levi t’arrête à nouveau, avec cette question. « Tu es sérieux ? » Tu ne comprends pas pourquoi il met ça sur le tapis à cet instant précis, qu’est-ce qui n’est pas si important ? Ton regard soutient le sien alors que tu soupires. Tes mains quittent sa peau pour reculer, allant t’asseoir sur ton petit canapé. « Pourquoi tu me demandes ça ? » Peut-être qu’il vous manque une conversation sérieuse, mais est-ce vraiment le moment ? Êtes-vous prêt pour ça ? Tu ne penses pas car il y a des choses que tu n’as pas encore pris le temps de mettre au clair, mais tu sais une chose, tu n’as besoin de personne d’autre, tu n’es pas du genre à t’envoyer en l’air avec tous ceux qui te draguent. Pourtant, ton amant lui, doute de ça, jalousie qui devient plus claire, un besoin d’être unique.

Tendant ta main vers lui. « Viens. » Quand il l’attrape tu le tires sur tes jambes, contre toi. « Déjà sache que si tu n’avais pas été là, je ne l’aurais pas été non plus. » C’est pour être avec lui que tu étais dans cet endroit et tu ne penses pas avoir montré le moindre intérêt pour quiconque d’autre, sauf pour le taquiner, est-ce qu’il va s’entêter à s’imaginer des choses ? Tu le fixes, yeux dans les yeux. « Tu as peut-être raison. » Commences-tu avec un faux air sérieux avant de sourire. « Sauf que je suis difficile à satisfaire, mes gouts sont très exigeant. » Tu plaisantes avec cependant cette vérité cachée derrière tes mots. « Il n’y a qu’une personne qui me plaît. » Tu n’as besoin que de lui, mais si tu le dis, n’est-ce pas un aveu de tes sentiments pour lui ? « Si tu as compris ce que je veux dire, alors embrasse-moi et tais-toi. » l’esquisse sur tes lèvres demeures autant que la lueur dans tes iris plongés dans celles de ton amant.







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unexpected jealousy ★ @"Song Eren"
ootd - et levi il a les questions qu’il ne faut pas, les préoccupations viles desquelles ils étaient censés se protéger. tu repousses l’amant à la recherche de réponses que tu n’avais pas droit d’avoir, pas le droit de quémander. tout ça ne faisait pas partie du plan, et tu étais peut-être en train de tout gâcher. eren demande si tu es sérieux, et tu n’oses pas y répondre. « je sais pas… » tu finis par concéder, perdu,
dans tout ça,
perdu dans tes sentiments, ressentiments,
perdu dans tes choix, dans ce que tu veux et pensais ne jamais vouloir de lui.

tu voulais être le seul.

tu suis pride jusqu’au canapé où rapidement il te tire sur ses genoux. à califourchon tu croises les iris dans lesquels tu te plonges dangereusement, acculé devant l’inévitable. ces orbes prodigieux qui te faisaient perdre tous tes repères et remettaient tout en question. et tu voudrais croire à ce qu’il te dit eren, croire à ses paroles magiques, mais en réalité il n’avait aucune raison ni obligation de te devoir des explications ni même du réconfort. « mouais… » tu réponds à moitié convaincu, mais surtout incapable de lui formuler une explication cohérente.
si ce n’était pas toi, alors ça pourrait bien être n’importe qui.
mais toi tu n’avais envie de personne d’autre.

et pourtant il t’arrache un sourire avec ses mots. ses goûts exigeants, mais que toi tu remplissais quand même. le temps s’arrête un instant, et les rondes s’arrêtent de tourner. galaxies qui ne scintillent que pour ces déclarations tût, à moitié dites. ton cœur s’arrête presque lui aussi, depuis quand est-ce que tu avais arrêté de respirer ?  

et sans doute que tu lui montrais une nouvelle facette de ta personnalité, celle que tu caches au plus grand monde et que tu ne gardes que pour toi, à l’abris des regards, lorsque tes peurs et tes inquiétudes réveillent le garçon incompris qui rêve parfois que les choses se passent autrement.

« c’est vrai ? » tu doutes et tu sais que tu devrais te taire. arrêter de poser des questions, arrêter de lui prendre la tête et de tout dramatiser. parce que eren il n’avait pas signé pour ça, ce n’était pas censé être compris dans l’arrangement que vous vous étiez donné et sur lequel vous vous étiez accordés. et c’était d’ailleurs bien pour ça que tu l’avais accepté toi aussi. tu ne voulais pas devoir t’impliquer dans quelque chose qui te dépasserait. quelque chose qui te dévorerait complètement et te ferait perdre la tête, la raison. rendrait les choses encore plus compliquées qu’elles ne l’étaient déjà,
quelque chose comme ce qu’il se passait en ce moment entre vous.
tu ne voulais rien ressentir, que du plaisir,
que des choses simples, presque animales.

mais peut-être que tu ne pouvais t’en prendre qu’à toi-même s’il n’y avait que son prénom au bout de tes lèvres, que son goût sur les pulpeuses, son toucher sur ta peau, son prénom dans ton esprit.
avide et stupide.
à quoi bon ?

alors tu l’embrasses comme il le demande, tes mains viennent se poser sur ses épaules d’abord avant de venir encadrer ses joues pour approfondir l’échange. et tu oubliais tout comme ça, il n’y avait plus d’inquiétudes ni de questions,
c’était sans doute ça le problème d’ailleurs.
dans ses bras, contre sa langue, il n’y avait plus rien d’autre qui t’importait. « ok j'arrête avec mes questions stupides. » tu murmures contre les lèvres tandis que tu retires sa veste. tes doigts passent ensuite sur la peau nue de son torse par-dessous son t-shirt, et tu te rapproches du corps amant en même temps que tu le lui retires aussi. « j’ai envie que ce soit toi qui me prennes ce soir. » tu lui dis en attaquant une nouvelle fois ses lèvres.
que tu arrêtes de penser, que tu arrêtes de te poser des questions.





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ootd - Est-ce que tu fais semblant d’être aveugle à ce qui se passe ? Honnêtement tu ne sais pas ce qui arrive à Levi, ses questions, cette curiosité sur tes possible « projets » en matière de conquêtes, tu pourrais avouer tout naturellement que tu n’as pas envie de t’envoyer en l’air avec quelqu’un d’autre que lui, ce simple détail suffirait à mettre un terme à la partie car cela montrerait cette évidence que tout n’est plus un jeu désormais. Tu te bornes pourtant à ne pas être aussi clair que tu le devrais, en fait tu ne l’est pas non plus envers toi-même, la peur surement de tout perdre ou alors de voir la situation devenir incontrôlable. Pourtant…

Il était déjà le seul.
Si seulement tu l’acceptais.

Sur ce canapé tu tentes malgré tout de le rassurer, l’idée de partir, de le laisser et de choisir cette femme ou une autre n’avait pas traversé ton esprit. Il semble sceptique à tes paroles, pourtant tu es sincère. Les mots finalement s’échappent, petit à petit tu lâches les indices, la vérité. Levi est celui qui te donne envie, il est celui pour qui tu ressens ce désir incommensurable que tu n’arrives pas à gérer, perdant le contrôle, la passion devenant bien trop grande en sa présence. Il te plaît depuis le début, mais cette attirance est devenu bien plus aujourd’hui, dépassant l’entendement et pourtant encore dissimulé dans cette inconscience que tu gardes scellé, te protégeant de tes sentiments, de la réalité. Tu n’es pas du genre à fuir, mais cœur blessé par le sentiment d’abandon, traumatisme secret de cette solitude passé, tu t’es fermé à ce trop-plein qui te retourne les tripes, car au fond de toi tu sais, mais tu tais.

Tes lèvres aussi ne désire qu’appeler son nom, comme tes mains sur sa peau ou son regard, tout chez lui te faisait de l’effet, mais seul lui pouvait y arriver. Piégé par cette partie que vous avez lancée, mais au final c’est un game over, si pour le moment le jeu est en cours, la partie est pourtant finie. Levi peut douter de toi, mais toi tu sais ce qu’il en est.

Le baiser réclamé, toujours avide et passionné, approfondissant cet échange qui te permet d’oublier toute notion du temps et d’espace, tu n’es qu’a lui et lui t’appartient, en silence et sans mot, les corps parlent et le prouvent. « Levi… » Souffles-tu sur ses lèvres. « Tu pourras me poser toutes les questions que tu voudras... plus tard. » Tu n’es pas un animal en chaleur, tu pourrais te retenir, mais tu n’en ressens pas le désir. Tu as juste envie de répondre à ses attentes, de lui montrer que ça compte pour toi, mais aussi de prendre du plaisir avec lui comme vous en avez l’habitude.

Du plaisir oui.
Mais pas seulement.

Caresses, tentation, l’ambiance se dessine dans cet endroit où tu sais personne ne viendra vous déranger, personne pour vous arrêter ni vous épier. Mordillant ses lèvres après sa demande, tu souris en te perdant dans son regard que tu aimes tant. « Ça tombe bien, c’était mon intention. » Même si tu aimes les deux, tu es plus dans la peau du dominant ce soir. De tes mains tu le ramène un peu plus vers toi, tandis que tu initiais un nouveau baiser entrecoupé par son haut que tu vires pour sentir sa peau contre la tienne.

Tu prends ton temps, la chaleur de son épiderme sous tes doigts que tu glisses sur lui. « Allons sur le lit. » Le sofa vous connaissez, tu veux plus d’espace, profiter du temps que vous avez. Te redressant, en chopant sa main pour le guider vers le matelas, certes pas du luxe, mais bien suffisant. Profitant d’être debout, tu déboutonnes le pantalon de ton amant, le regard sur ses prunelles si intense, tu le dévores rien qu’avec ta façon de l'observer qui hurle en silence « J'ai envie de toi. »






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ootd - Tu le sentais toi aussi, que c’était différent. Il y a toujours cette passion qui brule comme une flamme qui ne s’éteint pas, en permanence une braise demeure pour s’embraser lorsque vous la ravivez, mais plus encore, tu sentais les émotions, beaucoup plus aujourd’hui. Tu connais Levi, tu sais comment il est, c’est le gars capable de venir à ton travail pour te faire agir de manière irresponsable, celui qui laisse l’envie guider ses pensées sans se soucier des conséquences, celui qui se rebelle contre n’importe quoi et n’importe qui, séchant les cours pour te voir ou juste un désir de s’en échapper par ennuie. Oui, tu le connais, mais dans ses yeux, ses paroles, ce soir tu découvres le doute, tu vois quelque chose que tu sais, ne devrais pas être là. Ton cœur bat, tu le sens dans ta poitrine s’imposer quand tes lèvres retrouvent les siennes, pour l’instant tu ne veux pas penser au reste, tu ne veux pas t’interroger, tu veux juste l’enlacer.

Cette relation te mène à ta perte, tu fermes les yeux sur cette évidence, mais la passion que tu ressens pour lui grandit, tu as trouvé un refuge à ses côtés que tu as du mal à accepter, tu veux que ça compte, tu veux compter. Tu as peur de t’abandonner à ce désir profond de briser la dernière barrière encore dressée, tu es toujours cet ado rebelle et indomptable gardant le contrôle, voulant le contrôle pour ne pas être brisé et abandonné. Avec Levi tu es faible, de plus en plus tu sombres et te laisse aller, allant contre tous tes principes, voyant ce crédo auquel tu t’accroche devenir une farce.

Parce que tu es déjà tombé.
Inconsciemment ou aveugle de tes sentiments, tu sais parfaitement que c’est lui que tu veux. Quand tu es dans ses bras, quand il est dans les tiens, tu existes, il existe. Vous êtes un dans votre folie et tu veux plus, quémandant avidement ce contact, cette réalité que tu fuis, mais à laquelle tu ne peux échapper.

Le sexe, le plaisir, ta peau contre la sienne, tes lèvres épousant ses pulpeuses jusqu'à vos regards défiant et brulants, tu aimes chaque détail et veux prendre le temps ce soir de profiter d’avantages, de voir chaque instant compter et non être expédié, parce que justement.

Ça comptait vraiment.

Dévorant ses prunelles en retirant peu à peu les vêtements de ton amant sans perdre ce regard intense que tu posais sur lui, une envie que tu ne pouvais pas dissimuler, que tu ne voulais pas cacher. Levi presque entièrement nu, tu te ressources dans ce baiser que tu voulais plus long, te retenant de lui sauter dessus pour répondre à sa demande, aidé par ses mains, tu vires tes habits sans attendre.








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